La Faute de l'abbé Mouret ( Suite )
" Prodigieux poème hindou " , selon les mots que Huysmans prête à
Des Esseintes, la Faute de l'abbé Mouret, comme en marge des Rougon-Macquart,
est aussi un des romans les plus personnels de l'écrivain. Il y poursuit, à travers un autre couple
d'adolescents et une riche rêverie végétale, le rêve, déjà esquissé dans
la Fortune des Rougon, d'un bonheur parfait parce que pur; il y révèle, face à la
sensualité, à la mort, au néant, des hantises qui ne disparaîtront qu'avec la naissance de
ses propres enfants.
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Plassans
"...Avec Serge, le fils des Mouret, " prédestiné à la prêtrise, à
être eunuque, par le sang, par la race et par l'éducation " , Zola veut étudier le grand
combat de la religion et de la vie, de l'Église et de la Nature, de l'Ombre et de la Lumière. Ce drame
se déroule en trois grands moments.
..."
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